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Le massacre de Nipton, aussi appelé la loterie de Nipton est un épisode au cours duquel la population de Nipton fut méthodiquement massacrée par des légionnaires de la Légion en 2281 .

Histoire[]

Dans l'espoir de tirer profit de la mutinerie de la prison de la RNC, le maire Joseph B. Steyn a invité les nouveaux membres des Poudriers dans la ville pour leur offrir des drogues, des prostituées et d'autres divertissements. Dans le même temps, le maire a également proposé ces services aux troupes de la RNC, qui ont alors commencé à se rendre en ville de temps en temps. Cependant, afin de garantir la paix en ville, le maire s'arrangea pour faire en sorte que les deux groupes ne se croisent pas. C'est pourquoi, il invita les Poudriers à venir en ville la journée, et les soldats de la RNC, à s'y rendre la nuit.[1]

Steyn a ensuite été approché par Vulpes Inculta, le chef des frumentarii de la Légion de Caesar, qui s'était alors présenté, avec une proposition des plus alléchantes, sous le pseudonyme de M. Fox. En effet, Vulpes voulait offrir au maire une somme de 8 000 capsules en échange de quoi, celui-ci devait s'arranger pour que les Poudriers et soldats de la RNC soient présents au même moment, permettant ainsi à la Légion de les capturer en un coup et d'en faire un exemple. L'avidité de Steyn étant ce qu'elle était, celui-ci a bien évidemment fini par accepter l'offre sans aucune forme d'hésitation et avait même commencer à monter un plan pour abandonner la ville et partir avec ses nouvelles richesses.[2]

Lorsque les deux groupes sont arrivés, la Légion a refermé son piège et a traîné tout le monde au centre de la ville, y compris le maire et les habitants. [3] Vulpes a alors commencé par annoncer qu'en raison de leur comportement de pêcheur, les habitants et autres prisonniers seraient contraints de participer à une loterie qui déterminera leur sort.[4] Après quoi, Vulpes a ordonné le meurtre systématique de chaque personne en fonction de son billet, et ce en commençant par les décapitations, puis les crucifixions, et enfin, l'asservissement.[5]

Les meurtres étant terminés, des billets pour la première, deuxième et troisième place ont ensuite été tirés. Les gagnants de la troisième place ont été réduits en esclavage et emmenés par la Légion dans un camp de raid local. Boxcars, le vainqueur de la deuxième place, a été épargné mais la Légion l'a rendu infirme en lui brisant les jambes.[6] Enfin, le gagnant de la première place, Oliver Swanick, a été épargné et libéré.

Conséquences[]

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les conséquences de la loterie de Nipton furent quasi nulles, même lorsque le Courrier annonça la nouvelle du massacre au Ranger Ghost et au reste des troupes de la RNC stationnées à l'avant-poste de Mojave. En effet, la RNC continua de donner la priorité au Barrage Hoover, n'envoyant aucun renfort pour reprendre la ville et consolider ses positions, tandis que la Légion ne tira jamais profit de l'avantage stratégique qu'elle venait d'acquérir et qui aurait pu lui assurer la victoire dans la région (Nipton ouvrant la voie à la prise de l'avant-poste de Mojave et à la coupure des voies de ravitaillement et de communication entre la Californie et New Vegas).

En revanche, concernant le Chapitre du Mojave de la Confrérie de l'Acier, la nouvelle du massacre et l'absence de réponse de la RNC, lui fit revoir son jugement vis-à-vis de la puissance supposée de la RNC dans la région.[7]

Apparition(s)[]

Le massacre de Nipton apparaît uniquement dans Fallout: New Vegas.

Galerie[]

Références[]

  1. Journal du maire Steyn
  2. Entrées de terminal de Nipton ; Terminal du maire Steyn
  3. Le Courrier : Qu'est-ce qui s'est passé ici, exactement ?
    Vulpes Inculta : Nipton était un endroit de perdition, pervers et corrompu. Ses habitants servaient tout le monde tant qu'on les payait. Soldats sybarites, Poudriers, hommes de la Légion comme moi... Les gens d'ici s'en moquaient. C'était une ville de putains. Pour trois fois rien, la ville menait ceux qu'elle abritait dans un piège. Mais à mon tour, je les ai pris au piège.
    (Dialogue de Vulpes Inculta)
  4. Le Courrier : Vous avez capturé tout le monde ?
    Vulpes Inculta : Oui, et je les ai menés au centre de la ville. Je leur ai parlé de leurs péchés, le pire de tous étant la déloyauté. Je leur ai dit qu'en cas de déloyauté parmi les Légionnaires, certains étaient punis et les autres regardaient. Et j'ai annoncé le tirage au sort. Chacun s'accrochait à son billet, espérant qu'il signifiait la liberté. Aucun n'a réagi, même quand leurs "êtres chers" furent emmenés pour être tués.
    (Dialogue de Vulpes Inculta)
  5. Le Courrier : Pourquoi votre plan a-t-il foiré ?
    Boxcars : On a pris position et la minute d'après, on était cernés par ces tordus de la Légion. Ils nous ont traînés au centre de la ville avec tous les autres. Et ce connard avec un clebs sur la tête a commencé à nous dire nos quatre vérités. Il a dit qu'il fallait nous punir pour ce qu'on avait fait. Pas tous, mais certains. Et il a donné à chacun un putain de ticket de loterie.
    Le Courrier : Qu'est-ce qui s'est passé une fois que chacun a eu son billet de loterie ?
    Boxcars : À votre avis ? Il a commencé à tirer les numéros et à punir les gens. Les premiers, ça a été les "perdants chanceux". Ils ont été décapités. "Chanceux", parce que ça va vite. Ensuite, il y a eu les crucifixions. Ça, ça a duré, duré... Les troisièmes prix ont été réduits en esclavage. Moi, on m'a brisé les guiboles, et le gagnant est parti les mains dans les poches.
    (Dialogue de Boxcars)
  6. Le Courrier : Qu'est-ce que vous faites encore ici ?
    Boxcars : J'en sais rien. Parce que j'adore ce bled ? Qu'est-ce que vous croyez, trouduc ? Le deuxième prix me laissait la vie sauve, mais ils m'ont massacré les jambes au marteau. Je suis infirme, d'accord ?
    (Dialogue de Boxcars)
  7. Rapport d'éclaireur de la Confrérie
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